J’ai d’abord pris connaissance de ce livre via des recommandations trouvées ici et là sur Internet, je ne sais plus où, honnêtement, peut-être était-ce sur le Tumblr GoBookYourself, ou peut-être bien en consultant la liste des lauréats des prix Hugo, Locus ou Nebula. Mais j’avais ce titre en tête, « Le cirque des rêves ». Sans savoir de quoi il s’agissait, j’étais déjà à l’orée du délicieux mystère de ce roman.
L’esthétique de ce livre ma complètement attrapée : la première de couv’ est déjà chouette, mais les pages ! On a du rouge qui nous frôle le bout des doigts tout le long de la lecture. La dichotomie noir-rouge est d’autant plus plaisante qu’elle est le reflet de la communauté des « rêveurs » du roman, qui s’habille tout de noir avec une seule touche de rouge (fut-ce une étole ou une rose à la boutonnière). Mais qui sont ces rêveurs ? Reprenons. Lire la suite