Petite audace. Moyennement séduite par la couverture (je ne suis pas fan des couvertures « photos » qui ne stimulent pas tellement l’imagination) mais totalement par le résumé (et par les petits paragraphes grapillés çà et là lors de mes errances en librairie), j’ai fait l’acquisition du premier tome de cette trilogie. J’ai été bien inspirée : c’est excellent.
Auguste a quatorze ans lorsque son père meurt dans un accident de la route (qui s’avère de plus en plus suspect à mesure qu’il se renseigne dessus), et qu’il se retrouve, un peu par sa propre faute, et beaucoup par celle des adultes de son entourage qui cultivent un mystère touffu autour de leurs bizarres activités ancestrales, plongé dans une guerre millénaire entre deux congrégations improbables : la Confrérie et les Autodafeurs. Lire la suite