Mince, c’est triste. Triste de façon cruelle, intelligente et belle. Triste de façon douce et irréparable, comme un conte d’Andersen. Encore une fois, j’ai été séduite par la belle couverture, mais surtout, ici, par le nom de l’auteur qui malgré une première rencontre ratée (avec Et plus encore), a su me démontrer son talent (avec Le Chaos en marche).
Quelques minutes après minuit, Conor reçoit la visite d’un monstre. Un monstre millénaire, immense et puissant. Pourquoi le monstre est-il là ? Que lui veut-il ? Conor n’est pas impressionné. Lire la suite