La société entière se nourrit de plus en plus de la littérature jeunesse, comme le montre le licencing commercial de la marque « Le Petit Prince » chez Fleurus par exemple : on a des carnets, des stylos, des mallettes de jeux, des cahiers, des montres… L’univers de Saint-Exupéry, qui a touché tant de lecteurs, est devenue une marque que nombre d’acheteurs, petits et grands, se plaisent à retrouver chez eux*.