Neil Gaiman est peut-être mon auteur préféré. Il a le don inhabituel de faire resurgir nos peurs et nos fantasmes d’enfants pour les réarranger en des contes magiques. Sa plume subtile et mordante (et toujours bien traduite, chez Le Diable Vauvert) est toujours par un humour fin et so british. Il écrit aussi bien pour les petits que pour les grands, avec cette puissance et cet onirisme propre aux rêveries enfantines. L’océan au bout du chemin ne fait pas exception.
C’est un adulte qui raconte. Revenant sur les lieux de son enfance, il tombe sur cette ordinaire petite mare, à l’autre bout du terrain. Et soudain, tout lui revient. Lire la suite